Tu es sur une route sans nom.
Il t’appartient de la nommer.
Personne ne le fera à ta place.
Pas par manque d’altruisme
mais parce que l’avancée sur la route
ne concerne que toi,
quelles que soient les rencontres que tu y feras.
Avance.
Tiens une main
quand cela est possible,
tu la reconnaîtras :
celle-là ne griffera pas,
ne broiera pas,
ne mollira pas.
Avance,
traverse les paysages
de soleil et de brise,
de pluie et de tempête.
Commence doucement à aimer.
Crée ton ordre.
Sois à ce que tu fais.
Il n’y a rien d’autre à comprendre.