Il m'a appris à écouter des choses gaies quand je suis triste.
A abandonner les airs mélancoliques aux seuls moments joyeux. A ne pas ajouter du malheur au malheur.
Je savais déjà, avant lui, que la complaisance envers son propre malheur est une faute de goût, un manquement à l'élégance.
Mais j'étais brouillonne. Il m'a apporté la méthode.
Commentaires
Je devrais me l'imprimer et le mettre bien en évidence. Merci pour ces deux rappeld
You're welcome !