Ce matin, dans le métro, tout le monde avait la même tête : les hommes, les femmes, les enfants, les jeunes gens, les vieux, les contrôleurs et les bébés.
J'ai sorti mon miroir de poche avec inquiétude pour vérifier : j'avais les mêmes traits que tout le monde.
Je n'aurais pas aimé dépareiller.