Parfois les personnages de mes nouvelles viennent taper à ma porte. Je leur ouvre et j'écoute par politesse leurs doléances sur la vie qu'ils et elles mènent mais je brûle de leur dire que ce n'est plus de mon ressort, qu'ils doivent se prendre en main et que l'on est responsable de son destin mais s'il a été inventé par d'autres.